Parallèlement à sa carrière dans l’horlogerie (il a vendu sa société Boninchi à Rolex en 2001), Jean-Pierre Slavic est devenu un collectionneur de voitures anciennes depuis les années 1970. Son nom figure dans le top 100 du classement TCCT. Son musée privé comprend une soixantaine de modèles, dont deux tiers de Ferrari.